Par contre, dans les bouchons, au volant de ma polluante voiture -je revendique!-, fenêtres ouvertes -23C° quand même!- un type au bord de la route me regarde avec un grand sourire. 'Bonsoir'. Alors, je lui répond: 'Bonsoir'. Il m'dit, sourire charmeur à l'appui: 'On se promène?' Et puis les voitures devant moi ont avancées. Fin de l'histoire.
Si j'avais eu le temps, je lui aurais bien rétorqué que 'NON JE ME PROMÈNE PAS DUCON, J' ESSAYE D'ARRIVER A L'HEURE A L'OPÉRA MAIS VU TOUS LES CRÉTINS DEVANT MOI, C'EST PAS GAGNE!!!' Ça n'aurait pas été gentil -suis polie mais gentille, ça dépend des moments!-
Ceci dit, c'est toujours plaisant de faire son petit effet auprès d'hommes totalement inconnus. Flattée je suis! -surtout qu'on avait un point en commun, la coupe de cheveux. C'est un signe, non?-
Cherchez pas, la photo n'a rien à voir! C'est juste que je trouve les passiflores graphiquement passionnantes.
C'est vrai, ça fait plaisir. Même avec une question aussi naze :))
RépondreSupprimer- Alors, on se promène aurais-tu pu demander à l'homme aux sandales avec chaussettes ! Ca fait toujours plaisir de faire son petit effet auprès des femmes !
RépondreSupprimer:-))
Marie-Georges Pronfonde: En même temps, pour ce que j'aurais pu en faire (du type), je ne lui demande pas beaucoup d'esprit...
RépondreSupprimerPoireau: Vous êtes en chasse ou quoi? Un petit manque peut-être? ;-)
Tu es sûre de ce que tu dis ? Pourtant ça sent le "Alors, on jouit ?" à des kilomètres, ça !
RépondreSupprimerEt alors? L'esprit me semble bien secondaire pour jouir...
RépondreSupprimerRhô... Ca deviendrait pas un peu cul ces comm???
J'adore! :-D
Quoi ?
RépondreSupprimerUn mec capable de faire jouir juste en une phrase ?
Y'a un truc ?
:-))
@ mlle Ciguë :
RépondreSupprimerOui :))
Moi je dis que ça se discute... Et que ce que tu dis s'avère parfois vrai. Mais seulement parfois. Ou alors je suis une chieuse de cérébrale, possible aussi.
@ monsieur poireau :
Ce ne serait pas aussi génial que ça. :))
Ou alors une phrase de Proust, histoire de faire durer quand même un minimum ?
(Bon, je retourne à mon tag. Tu vas recevoir un tag inutile et j'en suis navrée d'avance, mamzelle ; heureusement on est libre de s'en foutre !)
Vous pourriez au moins nous dire ce que vous êtes aller entendre, non ?
RépondreSupprimerPoireau : Jamais connu…mais je ne demande qu’à tester !
RépondreSupprimerMarie-Georges Profonde : Dans certains contextes, quand je m’envoie en l’air, je ne demande pas à mon partenaire de faire le l’esprit ! Et là en l’occurrence, ça aurait été un p’tit coup comme ça en passant, genre ‘bonjour, …, au revoir’ Pas besoin de préliminaires -dans ce contexte là, je précise !-
Didier Goux : ‘Pelléas et Mélisande’ Je n’ai pas accroché !
J’ai désespérément aimé le ‘Trisan et Isolde’ de Wagner, le ‘Dido & Aeneas’ de Purcell. Mais j’ai découvert l’opéra -et particulièrement le baroque avec le ‘Giulio cesare in Egitto’ de Handel au Théâtre des Champs Elysées (2006 ? 2007 ? Sais plus) C’est simple, j’ai passé 5h à pleurer devant tant de beauté. Ce ‘Pelléas et Mélisande’ m’a uniquement rappelé que j’avais une bonne blanquette faite maison qui m’attendait chez moi…
Une bonne blanquette vaut parfois mieux qu'un mauvais opéra !
RépondreSupprimer:-)
Belle conclusion monsieur Poireau :))
RépondreSupprimerVoilà. Je dirai la même chose pour le sexe.
Bien qu'aimant beaucoup Debussy, je n'a jamais pu supporter Pelléas. Je crois que ça tient à la manière de traiter les voix. Et aussi au livret inepte de Maeterlinck.
RépondreSupprimerSinon, cinq heures pour l'opéra de Haendel, ça me paraît beaucoup, tout de même : Le Crépuscule des dieux lui-même n'y atteint pas...
Ou alors, vous comptez les entractes. Mais continuer à pleurer durant les entractes me paraît étrange...
Didier: J'avoue, j'ai pas pleuré aux entractes. J'ai juste pris le temps de remettre mes tripes en places histoire d'attaquer les actes suivants...
RépondreSupprimerMaintenant, je ne suis vraiment pas une spécialiste d'opéras. Certains me boulversent, d'autres m'ennuient. Je devrais prendre le temps de cerner mes 'Goux' et cibler les représentations que je vais voir. Ce qui m'a le plus déçu dans ce Pelléas, c'est que j'avais l'impression de me retrouver devant du théâtre chanté (j'ai travaillé 5 ans dans le théâtre, j'en ai fait le tour, du moins mon tour et j'ai changé de métier). J'avais jamais eu cette impression auparavant. A quoi c'est dû, je l'ignore.
D'autre part, l'opéra n'est vraiment pas d'un abord facile. Il y a tant d'interprétations, de chefs d'orchestre, de livrets, de compositeurs, de genre, etc... différents! J'ai une terrible soif d'apprendre mais je ne sais pas par où commencer. (j'ai le même problème avec le Jazz, le Gospel et dans une moindre mesure le blues) Mais bon, c'est un autre débat ;-)
Mozart : le Don Giovanni de Furtwängler et le Cosi fan tutte de Karajan.
RépondreSupprimerVerdi : le Rigoletto de Kubelik, le Don Carlo de Giulini.
Wagner : le Tristan de Furtwängler avec Kirsten Flagstad en Isolde, la Tétralogie enregistrée à Bayreuth en 1951 ou 52 par Clemens Kraus (coffret somptueux et pas cher du tout !). Ou alors, pour y aller en douceur, le premier acte de La Walkyrie dirigé par Bruno Walter en 1935 (un seul CD) avec le plus beau couple de "jumeaux" qui soit : Lauritz Merchior et Lotte Lehmann.
Une Carmen, celle de Georges Prêtre (avec Callas) ou celle de Georg Solti (avec Tatiana Troyanos et Placido Domingo).
Pour commencer, cela me paraît constituer une bonne base. Mais il faudrait m'en dire un peu plus sur ce qui vous plaît ou non, si vous voulez en découvrir davantage...