Je m’assied derrière le volant. Je pose mon sac à main coté passager. Quelques minutes plus tôt, tu étais encore là.
Je démarre. Le cd tourne. Bashung. L’imprudence.
Je sors du parking. Il fait nuit. Et froid aussi. Et il pleut. A verse.
Deux, peut-être trois larmes.
Mais tu reviendras. Définitivement cette fois.
... Je ne le dis plus, tu le sais déjà.
Je démarre. Le cd tourne. Bashung. L’imprudence.
Je sors du parking. Il fait nuit. Et froid aussi. Et il pleut. A verse.
Deux, peut-être trois larmes.
Mais tu reviendras. Définitivement cette fois.
... Je ne le dis plus, tu le sais déjà.
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very cool.
RépondreSupprimerAh oui, la place du passager...
RépondreSupprimer[Très bon album que L'Imprudence de Monsieur Bashung...].
:-)
Ecouter "L'Imprudence" au volant, tu aimes vivre dangereusement !!!
RépondreSupprimerBon, on n'a plus qu'à s'éclipser discrètement, là...
RépondreSupprimerDidier Goux : z'avez pas une blague à raconter ?
RépondreSupprimer:-))
Poireau : On l’appelle aussi la place du mort…
RépondreSupprimerCynique-ta-mère : … d’où l’intérêt d’écouter ‘L’Imprudence’.
Didier Goux : Ah… le silence…
Poireau : J’en avais une bonne sur Alzheimer mais je l’ai oubliée…
(oui, je sais, elle est mauvaise.)
Monsieur Poireau : vous voulez celle du petit singe qui a enculé un lion ?
RépondreSupprimerAlors voilà : c'est un petit singe qui, depuis toujours, rêve d'enculer un lion. Un soir, il en voit un en train de boire à la mare, pas loin d'un village : penché sur l'eau, cul relevé, c'est le moment où jamais.
Le petit singe saute sur le lion, l'encule vite fait et se carapate, le lion furieux à ses trousses. Traversant le village, il avise sur un banc un journal, un chapeau et une paire de lunettes. Il coiffe les deux derniers et ouvre le troisième pour se planquer derrière.
Arrive le lion, furax, qui s'aperçoit que le petit singe a disparu.
Il s'adresse au lecteur de journal : "Vous n'auriez pas vu passer un petit singe ?"
Le petit singe : "Celui qui a enculé le lion ?"
Le lion : "Quoi ? c'est déjà dans le journal ?"
OK, je me casse...
Didier: Je savais que vous aviez une belle plume...
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