L’arrivée à Toulouse s’est faite vers 14h, sous le soleil. Les places réservées pour le camion sont libres. C’est beau l’administration toulousaine ! D’abord, avant tout et en priorité : CAFEEEEEEEEEEEEE !!! Servi de main de maître par L’Homme en personne s’il vous plait ! L’appartement que j’avais quitté tout beau tout propre deux mois plus tôt s’était transformé en champ de cartons de toutes tailles, ouverts, fermés ou débordants. Pixelle en perdaient ces pixels -Facile. Oui, je sais. - L’après-midi s’est écoulée entre bullages, ronflotages et glandouillages divers et variés. Le soir, resto ! Non mais alors, 1001 bornes ça valait bien ça !
Pour l’anecdote, on s’est fait refouler au Carmen parce que d’après le cerbère à l’entrée, il n’y avait plus de places. Après un rapide coup d’œil à l’intérieur, on a constaté qu’aucune table n’était occupée. Bon… n’insistons pas… On a trouvé autre chose, ailleurs et en fin de compte probablement bien mieux! Accueil chaleureux par un ex footballeur pro, reconverti dans l’horeca pour cause de coup de boule à l’arbitre. Personnage d’emblée sympathique donc. Nourriture abondante et excellente. Que demander de plus ? Fin de l’anecdote.
Dimanche 26 : Réveil tranquille. Les camions ne pouvant pas rouler avant 22h, on fini les cartons à l’aise. Comme dans tous déménagements dignes de ce nom, certains amis étaient là comme promis, d’autres manquaient à l’appel comme prévu. Qu’à cela ne tienne, deux paires de bras masculins aidés de deux paires de bras féminins -il devait y avoir aussi des jambes quelques part...- ont largement suffit à remplir le camion. Un passage chez MacDo pour clôturer le chargement et une sieste pour Ciguë qui reprend le volant dès 22h. Après, la route… Pour ma part, quelques moments grisants encore comme par exemple ces deux hommes endormis à coté de moi, confiants dans ma conduite de nouvelle ancienne camionneuse, la pluie battant la route, la nuit noire et ‘Light’ en live d’Archive. Un sentiment de sérénité et de tout puissance à la fois…
Lundi 27 : 15h, arrivée à Bruxelles. Jusque là, depuis la frontière, c’est grand soleil mais dès que je pose le pied au sol, une bonne drache bien de chez nous! Les places réservées pour le camion ne sont pas libres. C’est beau l’administration bruxelloise ! Elévateur, ami présent comme prévu, encombrement de l’appartement par des cartons, un chat, des meubles, et accessoirement L’Homme... Et puis, le premier soir… la première nuit… le premier réveil… Un (re)commencement donc.
Maintenant, si ce n'est déjà fait, il faudrait voir à me ranger tous ces cartons à la con ! C'est bien beau, la glandouille érotique, mais y a pas qu'ça dans la vie...
RépondreSupprimerDidier Goux: Ah oui, c'est vrai, y'a pas que ça?
RépondreSupprimerJe vais y réfléchir...
Je cite Monika pour les bras féminins et on taira les bras masculins absents, bien sûr !
RépondreSupprimerC'est dans le besoin qu'on reconnaît ses amis…
(Re)commencement, oui. Y'a plus qu'à terminer de ranger tout ce fatras maintenant !!!
Allez au boulot !
:-)))
Allez, au boulot Monsieur Poireau! :-))
RépondreSupprimerJe suis très heureuse pour vous :)))
RépondreSupprimerDécidément, y'a du changement pour beaucoup de monde en ce moment. A bientôt à BXL, les z'amis !
;)
Si dans tes voyages d'affaires (ou autre d'ailleurs), tu passes par Bxl, tu es évidemment la bienvenue :-)
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