lundi 29 septembre 2008

Vive la vie!

Il faut, paraît-il, savoir gérer ces priorités. Je n’ai que des priorités pour l’instant (je suis certaine que ça vous arrive aussi… Oui hein ?... Dites moi que oui…) Je suis sur peuplée, over bookée, inondée de prioritéssss.
Pour l’instant, le blog est une de mes priorités... mais pas la première… J’arrive donc ! Promis, j’arrive! Quand, je sais pas encore, mais j’arrive…

mercredi 24 septembre 2008

Ouvrez-la!

On a besoin de votre avis. Mais si! Pour une fois qu'on vous le demande!
C'est par ici! Et n'oubliez pas non plus ça!

lundi 22 septembre 2008

Y'a des jours comme ça... des semaines aussi d'ailleurs...


Mon ordi m'a laché la semaine passée. Disque dur mort. Complètement, totalement, définitivement mort. Impossible de récupérer quoi que ce soit! Donc, plus de musique, plus de photos, plus de liste avec nom d'utilisateur et mots de passe, -et plus de commentaires idiots sur mes blogs favoris!-plus rien! Dois-je préciser que mon neurone n'a jamais pensé à faire de back up. J'ai racheté un ordi. Je dois tout remettre dessus comme l'accès à ma banque par internet par exemple: plus aucun code donc, téléphoner, mise en attente, expliquer, pas le bon service, mise en attente, avoir les codes -actifs dans une heure- Une heure plus tard introduire les codes. Codes érronés. Recommencer. Codes érronés. Retéléphoner, ravoir d'autres codes....





Un déménagement est en vue. Pour cela, il faut un camion. Pour le conduire, un permis C. Ca, j'ai! Ah merde non, il n'était valable que jusqu'en 2005. Pour le renouvellement, direction la commune -la mairie pour les Français-. Il faut passer une visite médicale. Six adresses possible. Un seul numéro encore actif.



'Une visite médicale pour renouveler votre permis C? Ok pour quelle société'


'C'est à titre privé'


'Ah non nous ne faisons plus ça. Adressez-vous ailleurs'



Ailleurs, faut déjà trouver les numéros de téléphone! Pour les trois adresses suivantes, il faut être 'affiliés'. Pour les deux qui restent*? Ah ben il est trop tard hein! Après quinze bonnes minutes en attente -à écouter Bach version supermarché- 'Nos bureaux sont ouverts de 8H à 16H'. Aujourd'hui, je continue mes investigations.




'Pas de soucis madame. Mais il ne me reste qu'une* place le 1er* octobre à 14h30.'


'Ca tombe bien, je suis en congé ce jour là'


'...et ça fera 71€.'


'... (glup) ... Ah oui quand même!'






Créer une nouvelle adresse mail. Pour rappel plus de code pour entrer dans le système. Téléphoner, mise en attente:




'Vous devez passer dans une de nos téléboutiques avec votre carte d'identité. Vous comprenez, nous ne pouvons pas être certains que vous êtes bien vous...'.




Trouver une téléboutique, patienter qu'un vendeur veuille bien interrompre sa conversation -primordiale, je n'en doute pas-, se retrouver devant lui, mastiquant son chewin gum la bouche grande ouverte, l'air vachement supérieur parce que lui, il sait! Je rentre, je teste, ça ne fonctionne pas. Téléphoner, passer pour une imbécile parce que je ne comprend rien -ce qui n'est pas faux-, arriver enfin à créer cette nouvelle adresse mail...sans arriver à y accèder pour voir mes messages.




Je sens un léger agacement m'envahir...
* On s'énerve, on s'énerve et voila! On fait des fautes... Merci Mr Poireau :-)

mercredi 17 septembre 2008

Mmmm...

J'exume un vieil album de Montand. Je le ré écoute avec plaisir. Je redécouvre ceci:



Coucher avec elle
Pour le sommeil, côte à côte
Pour les rêves parallèles
Pour la double respiration

Coucher avec elle
Pour l'ombre unique et surprenante
Pour la même chaleur
Pour la même solitude

Coucher avec elle
Pour l'aurore partagée
Pour le minuit identique
Pour les mêmes fantômes

Coucher, coucher avec elle
Pour l'amour absolu
Pour le vice et pour le vice
Pour les baisers de toute espèce

Coucher, coucher avec elle
Pour un naufrage ineffable
Pour se prostituer l'un à l'autre
Pour se confondre

Coucher avec elle
Pour se prouver et prouver vraiment
Que jamais n'a pesé sur l'âme
Et le corps des amants
Le mensonge d'une tâche originelle.

Texte de Robert Desnos


Et celle ci aussi:



Dans ma maison vous viendrez
D'ailleurs ce n'est pas ma maison
Je ne sais pas à qui elle est
Je suis entré comme ça un jour
Il n'y avait personne
Seulement des piments rouges accrochés au mur blanc
Je suis resté longtemps dans cette maison
Personne n'est venu
Mais tous les jours et tous les jours
Je vous ai attendue

Je ne faisais rien
C'est à dire rien de sérieux
Quelquefois le matin
Je poussais des cris d'animaux
Je gueulais comme un âne
De toutes mes forces
Et cela me faisait plaisir
Et puis je jouais avec mes pieds
C'est très intelligent les pieds
Ils vous emmènent très loin
Quand vous voulez aller très loin
Et puis quand vous ne voulez pas sortir
Ils restent là ils vous tiennent compagnie

Et quand il y a de la musique ils dansent
On ne peut pas danser sans eux
Faut être bête comme l'homme l'est si souvent
Pour dire des choses aussi bêtes
Que bête comme ses pieds gai comme un pinson
Le pinson n'est pas gai
Il est seulement gai quand il est gai
Et triste quand il est triste ou ni gai ni triste
Est-ce qu'on sait ce que c'est un pinson
D'ailleurs il ne s'appelle pas réellement comme ça
C'est l'homme qui a appelé cet oiseau comme ça
Pinson pinson pinson pinson

Comme c'est curieux les noms
Martin Hugo Victor de son prénom
Bonaparte Napoléon de son prénom
Pourquoi comme ça et pas comme ça
Un troupeau de bonapartes passe dans le désert
L'empereur s'appelle Dromadaire
Il a un cheval caisse et des tiroirs de course
Au loin galope un homme qui n'a que trois prénoms
Il s'appelle Tim-Tam-Tom et n'a pas de grand nom
Un peu plus loin encore il y a n'importe qui
Beaucoup plus loin encore il y a n'importe quoi
Et puis qu'est-ce que ça peut faire tout ça

Dans ma maison tu viendras
Je pense à autre chose mais je ne pense qu'à ça
Et quand tu seras entrée dans ma maison
Tu enlèveras tous tes vêtements
Et tu resteras immobile nue debout avec ta bouche rouge
Comme les piments rouges pendus sur le mur blanc
Et puis tu te coucheras et je me coucherai près de toi
Voilà
Dans ma maison qui n'est pas ma maison tu viendras.

Texte de Jacques Prévert

lundi 15 septembre 2008

Ciguë a encore perdu son neurone

J'ai fait un poulet. Un vrai! Au four, massé à l'huile d'olive, salé, poivré et tout et tout. Pas pu tout manger! Du coup, hier, micro-onde. Le micro-ondes prend feu... Ah? Bon, il est mort! Résignée, enfournage au four.

Quinze minutes plus tard. 'Mmm, ça crépite...'


Dix minutes plus tard. 'Tiens, c'est quoi ce truc vaguement cramé sur mon poulet?'


...


Putain de film plastique!


CQFD

dimanche 14 septembre 2008

Un cendrier plein, deux paquets de clopes, un briquet.
Un verre déjà vide, une bouteille de Johnny, un coca bas de gamme.
Bénabar chante Je suis de celle, Jeff Buckley Lilac Wine, Gérard Berliner Louise.
Et le vide…

samedi 13 septembre 2008

Ciguë en planeur

Ceci est un airbus! J'vous jure!


Parce que j'ai un Homme merveilleux, parce que c'était mon anniversaire, parce que je suis une femme extraordinaire et que donc je le vaux bien, j'ai eu droit à un tour gratuit en planeur. Un vrai hein! Pas un sur un manège ou que quand que tu attrapes la floche tu gagnes un tour gratuit -quoi que...ça doit être négociable...passons- Enfin, un vrai tour en vrai planeur!
C'est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie. Du coup, photos! Ici!


Photos réalisées par Melle ciguë et son Homme merveilleux!

jeudi 11 septembre 2008

C'est toujours ça de pris!

Ce soir, suis allée à l'opéra. Mais j'aurais mieux fait de rester chez moi à lire les deux dernières nouvelles de Filaplomb! Passons!

Par contre, dans les bouchons, au volant de ma polluante voiture -je revendique!-, fenêtres ouvertes -23C° quand même!- un type au bord de la route me regarde avec un grand sourire. 'Bonsoir'. Alors, je lui répond: 'Bonsoir'. Il m'dit, sourire charmeur à l'appui: 'On se promène?' Et puis les voitures devant moi ont avancées. Fin de l'histoire.

Si j'avais eu le temps, je lui aurais bien rétorqué que 'NON JE ME PROMÈNE PAS DUCON, J' ESSAYE D'ARRIVER A L'HEURE A L'OPÉRA MAIS VU TOUS LES CRÉTINS DEVANT MOI, C'EST PAS GAGNE!!!' Ça n'aurait pas été gentil -suis polie mais gentille, ça dépend des moments!-


Ceci dit, c'est toujours plaisant de faire son petit effet auprès d'hommes totalement inconnus. Flattée je suis! -surtout qu'on avait un point en commun, la coupe de cheveux. C'est un signe, non?-
Cherchez pas, la photo n'a rien à voir! C'est juste que je trouve les passiflores graphiquement passionnantes.

mercredi 10 septembre 2008

Sexe à mooort!


J'ai vu, aujourd'hui même, devant mon magasin, mes premières 'chaussettes/sandales'! Poils aux mollets à l'appui! Et ça, putain, c'est sexe! C'est un appel au viol! J'ai eu beaucoup de mal à me retenir. J'ai puisé au plus profond de moi [...]et j'ai vaincu! dieu, merci pour ton aide!
Amen!

jeudi 4 septembre 2008

Ca, c'est fait!

J'arrête pas de boire du café et j'arrête pas de faire pipi! Fais chier!

Ceci en hommage au Brad Pitt (nu?) de Balmeyer